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CLASS40
IMOCA
OCEAN FIFTY
ULTIM
1
Ambrogio BECCARIA
Nicolas ANDRIEU
ALLA GRANDE PIRELLI
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2
Alberto BONA
Pablo SANTURDE DEL ARCO
IBSA
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3
Xavier MACAIRE
Pierre LEBOUCHER
GROUPE SNEF
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1
Thomas RUYANT
Morgan LAGRAVIERE
FOR PEOPLE
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2
Sam GOODCHILD
Antoine KOCH
FOR THE PLANET
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3
Yoann RICHOMME
Yann ELIES
PAPREC ARKÉA
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1
Thibaut VAUCHEL-CAMUS
Quentin VLAMYNCK
SOLIDAIRES EN PELOTON
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2
Fabrice CAHIERC
Aymeric CHAPPELLIER
RÉALITÉS
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3
Pierre QUIROGA
Ronan TREUSSART
VIABILIS OCEANS
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1
Armel LE CLÉAC'H
Sébastien JOSSE
MAXI BANQUE POPULAIRE XI
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2
François GABART
Tom LAPERCHE
SVR LAZARTIGUE
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3
Charles CAUDRELIER
Erwan ISRAËL
MAXI EDMOND DE ROTHSCHILD
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Imoca

La nuit sera chaude

Ils arrivent ! A moins de 180 milles de l’arrivée, il faudrait un coup de tonnerre dans l’alizé bien établi pour que la victoire échappe à For People qui dispose d’un matelas de 60 milles d’avance sur ses poursuivants. Si Thomas Ruyant et Morgan Lagravière sont presque assurés de réaliser le doublé en IMOCA - ils sont attendus sur la ligne aux alentours de minuit heure de Martinique -, rien n’est fait pour les places d’honneur. Distants d’une douzaine de milles, Paprec Arkea (Richomme-Eliès) et For The Planet (Goodchild-Koch) vont batailler jusqu’aux premières lueurs du jour pour déterminer l’ordre du podium. Et au pied de celui-ci, c’est un autre match à suspense qui oppose Charal (Cammas-Beyou) et Initiatives Coeur (Davies-Boutell) qui vient de recroiser devant le foiler noir et rouge. Fort- de-France qui a déjà accueilli les huit multicoques classés en ULTIM et Ocean Fifty, retient son souffle et ses forces car la cadence va s’accélérer les prochaines 24 heures et toute la semaine prochaine. Que la fête continue !
Class40

Message du Class40 Le Bleuet de France

Bonjour la Terre !

Nous filons toujours vers le sud ouest, tant que le vent est avec nous et on en profite, car il pourrait nous abandonner en début de semaine prochaine… 

Hier soir, un oiseau est venu se poser sur notre bateau : nous lui avons installé un petit coin avec gamelle d'eau et miettes de gâteau, il était comme un pacha à bord (photo à venir) et il a vite pris ses aises : il a dormi à l'intérieur en nous laissant une belle crotte en souvenir (ça tombe bien ça faisait quelques jours qu'on avait pas épongé), puis il s'est carrément cru tout permis en décidant de se poser sur le dos de Claire-Vi !  (photo à venir aussi). Ce petit squatteur s'en est allé comme il était venu.

Aujourd'hui, nous avons dégusté le gâteau des Canaries, nommé Bizcochon, drôle de nom mais délicieux !

Charlotte a enfilé son tee-shirt anti-UV intégral : capuche, cache-nez, caches-mains : la totale ! Lol. On dirait une bédouine, mais au moins pas de coup de soleil possible !

Nous avons fait une grosse cocotte dans notre spi en empannant ce matin et après de longs efforts, elle s'est défaite. Mais cela a créé un sacré bazar sur le haut de la chaussette, nous profiterons de la pétole pour l'affaler et mettre tout ça au clair.

Tout va bien à bord, le soleil et les sourires sont au rendez-vous!

A demain !

Imoca

Message de l'IMOCA Initiatives Coeur

Il fait super chaud maintenant. Les alizés nous permettent de progresser rapidement vers la Martinique. Il nous reste environ 24 heures et on ne relâche rien, tout en surveillant nos voisins.  Je commence à sentir la fatigue. Même s’il ne reste que 24 heures, on a besoin quand même de se reposer, mais dormir le jour est difficile avec cette chaleur. On examine nos cahiers concernant la météo et la stratégie pour aborder l’ile de Martinique et la dernière partie au large des côtes, qui peut s’avérer compliquée !
Sam Davies
Imoca

Message de l'imoca Singchain Team Haikou

Tout va bien. On est sous code zéro avec un ris dans la GV et on progresse à 15-16 noeuds. Le ciel est assez couvert, mais on a un peu de soleil de temps en temps. Le temps est assez agréable. Mieux que lors de la navigation au près que nous avons effectuée pendant huit ou neuf jours ! C’est super de voir comment Jackie’ gère le bateau, comment il fait le boulot et comment il évite les situations difficiles. Cela va dire qu’il anticipe bien les changements de voile. Du coup, on avance bien ayant pris nos décisions au bon moment. Actuellement, vu sa façon de procéder, il devrait bien
être capable de boucler le Vendée Globe...
Mike Golding

La Route du café : retour aux origines

En ce moment même, un petit plant de café navigue sur l’Atlantique. Il a été baptisé “Café-Fé". Ce sont les skippers Tanguy Le Turquais et Félix de Navacelle qui ont été missionnés pour l’escorter jusque sur la terre de ses ancêtres. Il rejoindra ainsi les plantations martiniquaises où la filière d’un café d’excellence a été relancée : l’arabica typica.
Imoca

Message de l'imoca Malizia - Sea Explorer

Il fait très chaud. Depuis quelques jours, on a une bonne routine en place. La mer est un peu plus chaotique, sans doute à cause des tempêtes dans le Nord. Il devient plus difficile de ‘foiler’ et le bateau est plus instable. On a hâte maintenant d’arriver. Les journées commencent à se ressembler avec quelques empannages par jour et entre 15 et 20 nœuds de vent.

Les autres ont un gennaker un peu plus grand que le nôtre. Cela veut dire qu’ils sont plus rapides dans un vent faible, mais nous sommes plus rapides lorsque le vent se lève. Il est intéressant de surveiller les performances des bateaux neufs. Paprec Arkéa et For People sont clairement très rapides dans ces conditions. Au début de la course, on a vu que Charal progressait bien au près et au portant.

Justine (Mettraux) et Teamwork ont fait un boulot remarquable. Chaque fois que l’on perd le vent, on voit qu’elle reste rapide. Cela va être serré. Une bascule de 2 ou 3 degrés en notre faveur et on arriverait 50 milles en avance. Dans l’autre sens, nous aurions un retard de 50 milles. On ne sait pas si on va être près d’elle ou très loin d’elle à l’arrivée. Il est intéressant de voir comment tout le monde envisageait sa victoire, mais à bord de ces foilers, les vagues exercent une influence importante sur la performance.

Mots du bord : Martinique (presque) en vue !

Alors que les premiers IMOCA sont attendus dans la nuit de samedi à dimanche en Martinique (dimanche matin heure française), l’appel de la Martinique se fait de plus en plus fort pour des bateaux, des hommes et des femmes éprouvés sur cette transatlantique. Plus à l’arrière, chez les Class40 et les derniers IMOCA, il faudra encore attendre un petit peu pour goûter au café martiniquais.
Imoca

Message de l'imoca For the planet

On se dirige vers la Martinique maintenant. Les conditions sont assez instables avec pas mal de nuages. On progresse, mais il faut régler souvent, avec chaque variation et chaque bascule du vent. La mer est plus agitée et Paprec-Arkéa est plus rapide dans ces conditions. C’est un peu douloureux pour nous, mais on continuera de mettre la pression jusqu’à l’arrivée. Il nous reste quelques empannages et quelques options tactiques, mais devant, ils nous surveillent et ils risquent de rester entre nous et l’arrivée. Cela ressemble à la conclusion d’une étape du Figaro avec Yann (Eliès) et Yoann (Richomme). On surveille aussi Initiatives Cœur et Charal, car ils ne sont pas loin derrière nous. Un petit nuage et ils pourraient nous rattraper. De plus, Charal semble avoir retrouvé de la vitesse
Sam Goodchild
Imoca

Message de l'IMOCA Groupe Apicil

Le soleil vient juste de se lever sur cette partie de l’océan Atlantique. Je ne sais même pas à quel jour de course nous sommes parce que nous avons mélangé tous nos sacs de nourriture qui sont numérotés. Je ne sais pas si nous sommes le 9e, le 10e, … Peu importe. 

On a passé notre première nuit au portant à dévaler les vagues et à surfer. La deuxième partie de la nuit a été assez dynamique car nous avons fait un changement de voile d’avant. Le vent dépassait les 25 nœuds, on était un peu poussif sous grand gennaker. Nous sommes passés sous petit gennaker avec un ris dans la grand-voile. La mer est bien chaotique. Il y en a dans tous les sens. Mon petit doigt me dit qu’aujourd’hui il va faire beau contrairement à hier où le ciel était gris en permanence. Je vois des morceaux de ciel bleu à l’horizon. C’est de bon augure, nous allons pouvoir tester nos panneaux solaires. Mine de rien l’arrivée se rapproche à grands pas avec nos vitesses. Ca va venir vite. C’est top ! Tout se passe bien à bord, pas de souci majeur. Sinon, on a hâte d’arriver, de pouvoir faire un check du bateau pour qu’il soit prêt à repartir dans l’autre sens dans une dizaine de jours. 

Bonne journée à tous !

Imoca

Message de l'IMOCA FOUSSIER-Mon Courtier Energie

Ça y est, ce n'est plus confidentiel, nos mésaventures techniques ont été révélées... 

Ce mât donc qui a failli un moment nous échapper, encore, mais de manière plus radicale qu'un câble dévissé. Cette fois-ci, c'est notre étai principal qui ne tenait plus que par "un fil" alors que nous étions en plein reeching, à l'attaque du front, dans 25-30 noeuds de vent, pressés d'en découdre et d'envoyer les voiles de portant.

Au lieu de cela, c'est une séance de bricolage intensive de 10H à laquelle nous avons eu le droit. Satisfaisante parce que notre système semble tenir de jour en jour alors que lentement, nous augmentons la charge de travail de notre espar. Ca c'est le premier sentiment positif après autant d'acharnement et d'énergie dépensée. Ensuite vient la frustration issue d'un constat simple : la tête de la course s'est échappée définitivement. 

Enfin le vent tourne en notre faveur et nous envoyons le FRO notre voile de portant serré la plus plate. "Ça tient" toujours, le bateau dépasse enfin les 15 noeuds de vitesse. Nous ne savons même plus depuis quand nous n'avons pas ressenti cette glisse, nous sommes presque euphoriques et émus de ce moment. Un banc de dauphins surexités vient fêter ce moment avec nous, nous offrant des sauts incroyablement hauts.

Il va nous falloir encore quelques quarts pour nous habituer à ces nouvelles sensations, à ces nouveaux bruits, mais le sentiment d'avancer enfin vers la Martinique prédomine et ça c'est vraiment chouette. Nous avons toujours le couteau entre les dents. On a juste pour l'instant, temporairement, un peu moins d'énergie pour serrer les dents. Il semblerait que ces derniers 4-5 jours aient eu un impact plus important que ce que nous pensions. Alors on remet du rythme. Route / Réglages / Rangements, Quarts / Siestes / Météo. 

"Ça tient" et c'est bien le principal.

Imoca

Message de l'IMOCA HUMAN Immobilier

Bon, il est de notoriété marine que quand on fait une boulette on paye sa tournée à l'équipage...
Hier matin, réveil tonique, pas le genre où tu prends le temps pour un café sur le zinc et écouter 2, 3 brèves de comptoir…
Non ! On empanne maintenant !
Même pas le temps de présenter nos hommages matinaux à la mer...
Bon me voilà à pied d'oeuvre, les bastaques, les écoutes, etc. 
Tout est clair, on tourne et ça tourne, on renvoie la chaussette impeccable ce jibe !
Limite à se congratuler…
Je vais quand même faire un tour à l'avant, regarder si tout est clair avant nos congratulations respectives... qui vont devoir attendre !

Mais c'est quoi ce petit rien du tout sur le bout d'affalage de spi ? pfufff… c’est rien, ça va le faire mais après réflexion, on se dit que ça va gêner, donc il faut affaler 5 mètres de chaussette, on renvoie et hop l'affaire est dans le sac sauf que le spi est trop choqué... trop libre, le voilà parti faire un tour, 2, puis 3…

C'est nul qu'on n’ait pas 12 bras dans des moments clef !
Cocotte de chez cocotte ,pas le truc marron crête rouge ou blanche qui fait des oeufs, non, non, un noeud bien serré, détesté par tous les marins du monde !

Bref, on a mis 2 heures pour retrouver une route et une vitesse normale pour une cosse dans un bout de 5 mm…

C'était ça notre matinée d'hier, après la journée s'est bien passé, la nuit aussi, mais ce matin il a eu une autre blague mais vous saurez ça demain, on vous la garde pour demain, bande de vilains, qui vous délectez de nos emmerdes...
Pas grand monde le raconte mais nous on vous dit tout, on est comme ça ! Qu’au moins ça vous fasse sourire un peu…
 

Allez on kiss la mer pour vous 

Class40

Message du Class40 Legallais

Début de journée à bord de LEGALLAIS. Notre rotation de quart a eu lieu à huit heures ce matin comme d’habitude. Dans notre rotation de quart, au début de la course, c’est Corentin qui faisait lever de soleil et coucher de soleil. Maintenant, c’est moi. On voit bien que plus on fait de l’ouest, plus le temps se décale. Ça se passe tout en douceur pour nous à bord. 

On a nos angles de direction du vent qui évoluent avec le jour et la nuit.  Nous essayons de prendre toutes les petites oscillations du vent pour grappiller sur les concurrents avec lesquels nous évoluons en ce moment. C’est top de les voir retrouvés ! Il y a La Manche #Evidence Nautique que nous avons retrouvé déjà depuis très longtemps et avec lequel nous avons réussi, petit à petit, à creuser. Là, nous avons quasiment une vingtaine de milles d’avance en ligne droite, c’est plutôt bien.

J’ai beaucoup la tête dans la météo, c’est le gros sujet. Choisir le nord ou le sud, ou une route médiane en fonction de la panne d’alizés qui est prévue dans pas longtemps. Il y a un choix à faire pour passer d’un côté ou de l’autre. Ce n’est pas évident. On doit composer avec, essayer de faire différents scenarii par le nord ou par le sud, voir la réalisation, savoir si c’est réalisable sans danger pour le bateau, sans danger pour nous. Le nord est assez engagé. L’ambiance est studieuse, nous avons encore jusqu’à demain midi pour nous positionner. On scrute toutes les sources météo possibles, nous les étudions, nous les analysons et on essaye de trouver la bonne route. 

Ocean Fifty

Solidaires en Peloton : Retour sur une victoire sans appel

Après une première Manche parfaitement maîtrisée, Solidaires en Peloton se présentait comme le bateau à battre au départ de Lorient le 6 novembre. Parti en tête, le tandem formé par Thibaut Vauchel-Camus et Quentin Vlamynck a toujours contrôlé sa course, tenant ses deux poursuivants à distance après le passage du premier front qui entrainait l’abandon de la moitié de la flotte. Une course à trois où le tandem vainqueur n’a manqué ni d’adversité ni de panache. Abonné des podiums, Thibault Vauchel-Camus obtient la grande victoire qu’il attendait depuis son entrée dans la classe en 2018 et Quentin Vlamynck, passé à un cheveu de la Route du Rhum l’an dernier, confirme son talent en partageant la barre du plan Neyhousser qu’il a contribué à faire naître au chantier Lalou Multi en 2020.
Imoca

Message de l'imoca Hublot

Brioche en visu, je répète, la brioche va sortir du four !!! 

 

Alors ça, ça fait partie des nuits que l’on n’aime pas : mer croisée, vent super instable, le bateau qui passe de 10 à 22 noeuds, réglages sans arrêt et ne reste qu’à prendre son mal en patience. Et rester calme. Même à la banette, quand tu tentes une sieste, tu entends le bateau qui colle à l’eau et là, impossible de trouver le sommeil. Tu comptes les vagues, les mouvements de barre et tu finis par sortir du lit et faire les 300 pas dans 3 mètres carrés ! 

On se rapproche petit à petit de la fin, il reste 3 gros jours de mer et je sens que ça va être les plus longs en mer. L’option Nord semble finalement payer et nous, on est un peu entre les deux actuellement. On aurait aimé aller plus Sud mais on n’a pas réussi à faire ça sans prendre le risque de perdre trop de terrain et de temp. Du coup on se retrouve un peu entre deux systèmes bizarres. Il faut donc rester concentrés et faire avancer Hublot au mieux. 

Le café coule à flot à bord, les playlist  passent de Francky Vincent à Slipknot : autant dire que l’ambiance change souvent ! 

Prochain empannage prévu dans 300 milles. Ça commence à faire long comme bord et celui d’après devrait quasiment être en layline sur l’arrivée. 

 

À nous d’essayer de mettre Cali derrière proprement et de ne pas perdre sur les autres ! 

Class40

Message du Class40 Alla Grande Pirelli

On a un vent faible aujourd’hui et il fait trop chaud, surtout pour Nico (Andrieu, le co-skipper). La bataille continue à chaque bascule et avec chaque variation de la vitesse du vent. On a arrêté de regarder ce qui se passe au Nord, parce que l’on ne peut rien contre eux. Il faut que l’on reste concentré sur notre position au Sud, car nous avons pris cette décision il y a quelques jours. On est heureux d’être en tête ! On a creusé notre écart, mais derrière, ils vont avoir plus de vent que nous. On verra… On effectue beaucoup d’empannages mais c’est le seul exercice physique de la journée. J’ai eu une douleur au niveau des côtes il y a quelques jours, mais cela va mieux maintenant. Nico souffre dans cette chaleur, mais c’est parce qu’il est vieux. Moi, je suis jeune et du coup je ne commence qu’à la sentir.
Ambrogio Beccari
Imoca

Message de l'Imoca Teamwork.net

Nous avons eu un souci avec le hook de notre grand-voile. Cela ne fonctionnait pas bien. Chaque fois que l’on prenait un ris, on se bagarrait avec la pièce. On a décidé de remplacer le hook, car il ne marchait pas du tout bien. On a effectué cette réparation hier, ce qui explique les milles perdus hier après-midi. Depuis, il marche bien. On espère maintenant que cela va être une ligne droite vers la Martinique. On va essayer d’obtenir le meilleur résultat possible, mais je pense qu’il sera difficile de remporter la course. For People a une belle avance et Paprec-Arkéa n’est pas loin. Cela va dépendre des conditions qu’ils rencontrent dans le Sud et comment cela marche pour nous au Nord. Il nous reste deux bonnes journées avant l’arrivée.
Justine Mettraux

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