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CLASS40
IMOCA
OCEAN FIFTY
ULTIM
1
Achille NEBOUT
Gildas MAHE
AMARRIS
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2
Nicolas D'ESTAIS
Léo DEBIESSE
CAFÉ JOYEUX
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3
Alberto BONA
Pablo SANTURDE DEL ARCO
IBSA
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1
Jérémie BEYOU
Franck CAMMAS
CHARAL
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2
Justine METTRAUX
Julien VILLION
TEAMWORK.NET
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3
Yoann RICHOMME
Yann ELIES
PAPREC ARKÉA
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1
Thibaut VAUCHEL-CAMUS
Quentin VLAMYNCK
SOLIDAIRES EN PELOTON
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2
Fabrice CAHIERC
Aymeric CHAPPELLIER
RÉALITÉS
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3
Pierre QUIROGA
Ronan TREUSSART
VIABILIS OCEANS
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1
Armel LE CLÉAC'H
Sébastien JOSSE
MAXI BANQUE POPULAIRE XI
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2
François GABART
Tom LAPERCHE
SVR LAZARTIGUE
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3
Charles CAUDRELIER
Erwan ISRAËL
MAXI EDMOND DE ROTHSCHILD
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Imoca

Paul Meilhat et Mariana Lobato ont décidé de ne pas reprendre la mer

L’escale technique à Brest ne permettant pas à l’équipage de Biotherm de reprendre la mer avant l’arrivée de la nouvelle dépression qui sévit au large et sur les côtes bretonnes, Paul Meilhat et Mariana Lobato ont pris la décision de ne pas repartir en course. Un choix douloureux mais dicté par le bon sens, l’objectif étant de préparer la saison 2024 dans la sérénité.

Suite à la rupture du lazy-jack qui a entrainé des déchirures dans la grand-voile, Biotherm a été contraint d’effectuer une escale technique, les conditions de mer rencontrées depuis le départ de la Transat Jacques Vabre ne permettant pas de monter dans le mât pour réparer. Biotherm est arrivé à Brest hier (mercredi) soir à 20h00. Le plan d’origine était de reprendre la route vers la Martinique le plus rapidement possible. Malheureusement, au fil des heures, Paul et Mariana ont vu la fenêtre météo se refermer devant eux. 

« Nous n’aurions pas pu repartir avant vendredi soir, trois jours derrière la flotte, et dans des conditions de vent et de mer encore compliquées. Après une année particulièrement dense sur l’eau pour nous avec The Ocean Race, faire la course ‘en convoyage’ sans objectif de performance n’avait plus trop de sens. C’est un choix difficile pour moi parce qu’abandonner une course ne fait pas du tout partie de mes valeurs. Mais il faut se rendre à la raison et ne pas perdre de vue l’ensemble du projet qui est tourné vers la saison 2024 et le Vendée Globe » confiait Paul ce matin depuis Brest.

«  Je suis contente de notre départ et de nos 30 premières heures de navigation, même si on a bien galéré avec notre problème de grand-voile. On a essayé de résoudre le problème en mer, mais c’était chaud, il y avait 40 nœuds de vent, on ne pouvait pas monter au mât pour réparer et on n’aurait pas pu continuer comme ça. Quand on prend le départ d’une course, on a forcément envie de la terminer, alors c’est dommage, c’est sûr, mais c’est une sage décision. C’est la vie, c’est le sport, il faut rester pragmatique » soulignait la navigatrice portugaise Mariana Lobato.

Biotherm est toujours en stand-by à Brest dans l’attente de meilleures conditions météo pour pouvoir regagner sa base à Lorient.

Class40

Message du Class40 Seafrigo-Sogestran

Hello les terriens ! 

Épique à bien des égards ce début de TJV !!

Trop content d'être là même si on n'a pas fait l'étape 1 exactement comme on l'avait imaginé, et même si l'étape 2 a commencé de façon bien bien engagé. 

On aime ce sport parce que ce n'est jamais simple, qu'il y a des moments durs parfois, mais aussi plein de moments extraordinaires comme ce lever de soleil ce matin après une nuit de surf sous spi. 

La nuit qui arrive s'annonce pénible car sans vent mais à la clef qui sait, une bonne surprise au classement alors on bat pour faire avancer notre joli Seafrigo-Sogestran. 

Côté bateau justement, on ne pouvait pas rêver d'un test plus impactant pour notre greffon de coque que ne l'a été le passage du cap Finistère. Un énorme bravo à l'équipe de "Reboat" qui a fait un travail de dingue en terme de qualité et de timing. Merci également à Sam et Nicolas pour avoir supervisé, construit le greffon et nous avoir aidé à re-quillé cette jolie monture. 

 

Ced & Guillaume

Imoca

A l’Ouest, vraiment rien de nouveau ?…

Avant le départ des IMOCA mardi, le débat route nord/route sud animait les conversations. La vision de la meute des 33 bateaux en mer actuellement, lancée sur une route qui les fait piquer vers Madère pourrait laisser croire que les 48 premières heures ont calmé bien des ardeurs. Pourtant, la lecture des positions de chacun et l’arrivée devant les leaders d’une zone de vent très faible laissent augurer les premiers choix stratégiques dans la soirée et cette nuit.
Ocean Fifty

Abandon Ocean Fifty KOESIO

KOESIO ne repartira pas en course, Erwan l'a annoncé à Francis et en interne à l'équipe. "Bonjour à tous, c’est avec beaucoup d’émotion que nous vous annonçons notre abandon. En effet malgré tous nos efforts  pour nous donner la chance de repartir il faut se rendre a l’évidence nous ne seront pas prêt demain midi pour repartir."

Imoca

L’équipage à bord de Be Water Positive a rejoint Gosport tard dans la nuit

L’équipage à bord de Be Water Positive a rejoint Gosport dans le Solent (GB) tard dans la nuit, afin d’obtenir des conseils médicaux pour le skipper, Scott Shawyer. Après des consultations avec des médecins et son équipe technique, ils ont pris la difficile décision d’abandonner la course. L’équipe est heureuse d’apprendre que Scott devrait néanmoins se rétablir rapidement.

A son retour au port, Scott Shawyer a déclaré “C’est une déception. Nous avons effectué tellement de travail sur le bateau et pour nous préparer également, mais c’est le destin, de la malchance. J’ai hâte de me retrouver avec l’équipe d’ici quelques jours pour élaborer la prochaine étape de notre programme”.

Fin du mode essorage

Une large partie de la flotte longe désormais les côtes portugaises. Après 48 voire 72h en mode machine à laver, essorage maximal, c’est l’heure de sécher et de profiter d’un temps plus calme. Les humain(e)s comme les machines peuvent souffler et quitter les bottes et le ciré. Les sourires étaient en tout cas bien présents ce matin, à la vacation de 11h.
Imoca

Message de l'IMOCA HUMAN Immobilier

Notre chanson  : " Bonne humeur " de Tristan : je vais bien ce matin, il y a des matins comme ça ...🎶

Bon voilà, nous sommes partis un mardi à 42 bateaux et 84 marins, faire une course à la voile qui avait été suspendue pour cause de mauvais temps et repoussée...

 5 4 3 2 1... go !!

J'avoue, nous avons pris un départ avec les autres et ça, c'était bien ! 

Nous sommes en direction de Fort de France et nous avons essuyé quelques coups de tabac…  Du brun svp !  du tabac qui forge le marin !

40 nœuds établis et quelques claques à 60 : dès la première nuit, ça met en jambe…

 

Soyons honnêtes, la deuxième fut quasi identique. On se repose par tranche de 1h30 chacun, hors manœuvres bien entendu, sinon ce n'est pas drôle, je n'ai pas dit “on dort” parce que dormir avec 50 nœuds qui tapent sur la coque toutes les 30 secondes, on a fait mieux  !

Et bien entendu, Eole, il n'est pas venu tout seul, il est arrivé avec sa copine la mer qui te secoue de droite à gauche et qui te bouscule de bas en haut…

Sacré mélange.

C'est ça la vie du marin en course.

Pas de tout repos.

Le bateau va bien, il a quelques stigmates des 2 dernières journées, mais c'est normal et rien de fondamental, on attend les beaux jours pour remettre tout ça en ordre.

 

En ce moment, c'est la mer qui nous embrasse et pas l'inverse, comme on aime à le dire sur notre cigogne. 

Class40

Message du Class40 L'Envol - Kermarrec Promotion

On en est là, à écrire un peu, toujours au soleil ! Le capot est entrouvert et l’air circule dans le bateau. Le vent est un peu mou, Alice regarde où sont les concurrents, Anatole préfère ne pas savoir. On essaie d’avancer sur la route la plus directe et on réfléchit à la faisabilité des futures réparations...
L'Envol - Kermarrec Promotion
Imoca

Message de l'IMOCA V and B - Monbana - Mayenne

Route sud ou route nord ? telle est la question à bord de l’IMOCA V and B - Monbana - Mayenne. Vous avez 12 jours !

Comme beaucoup de transatlantiques de la métropole française jusqu'aux Antilles, il y a ce genre de choix à faire. 
Rester proche de l’orthodromie, la route la plus courte mais sur le chemin de nombreuses dépressions avec de la houle et des vents contraires ou alors faire une route sud qui va rallonger la distance mais dans des conditions plus clémentes avec des vents portants. 

Sur cette Transat Jacques Vabre Normandie Le Havre, le choix est crucial et complexe. Depuis 10 ans que je réalise des transats, c’est la première fois où j’ai l’impression d’être encore dans le doute à si peu de temps de devoir faire un choix.
On est en permanence en train de ruminer cela dans la tête. On imagine les scénarios des deux côtés (nord / sud) et on tente aussi de se rassurer sur les possibles choix que l’on réalise. 
Tiens voilà le nouveau fichier du matin ! Arf, tous les plans tombent à l’eau, l’option arrêtée hier (sans grande certitude) n’est plus du tout la même aujourd’hui ! 
Alors tu te remets à travailler et tenter de trouver des réponses. 
Il faut savoir que lorsque l’on réalise des routages météos, on fonctionne avec des fichiers de prévision qui ont plus ou moins une bonne fiabilité. On a une idée plutôt claire à 48h et qui devient moins fiable au-delà. Ça signifie que tu changes en permanence, tu redistribue à chaque fois les cartes et tu fais face à un nouveau jeu… Un peu comme une partie de poker, il faut faire le moins mauvais des choix, prendre la meilleure décision possible… Voila ce qui trotte dans nos têtes à Chris et moi, depuis le début de cette course ce qui continuera à nous obnibuler jusqu’à la fin. 

Encore une douzaine d’heures avant de devoir faire ce choix. Pour l’instant présent, c’est premier petit déjeuner à bord avec du thé, des petits biscuits et des chocolats Monbana, et ça, ça n’a pas de prix après les 2 derniers jours en mode survie !
Ces IMOCAs à foils sont vraiment dur à vivre dans toutes les conditions mais alors quand le vent et la mer s’en mêlent c’est inhumain !!! 

Les 24 h qui ont changé la physionomie de la course

L’ensemble de la flotte de la 16ème édition de la Transat Jacques Vabre Normandie le Havre est désormais en mer. Cet enchaînement rare et soudain de tempêtes que l’Hexagone vient de subir a contraint l’organisation de la course à trouver les meilleures solutions dans des délais très courts.
Imoca

Message de l'IMOCA Hublot

Bonjour à tous depuis le cap Finisterre !

Nous n’avions pas encore pris le temps d’écrire ou d’envoyer d’images depuis le départ car ce n’était pas super tenable à bord. Après un départ engagé, nous avons tiré des bords le long de la côte cherbourgeoise, où on a plus perdu que gagné sur les copains… Mais ce n’est pas pour autant qu’on s’est endormis sur les écoutes ! Surtout avec un passage de front avec rafales à 49,9 noeuds. Pas 50, mais vraiment pas loin ! Après un petit virement de bord, hop nous voilà désormais sur une route au sud pour quitter le golfe au plus vite. On est dans un vent très instable qui passe de 18 à 38 noeuds, autant dire que ce sont vraiment les vacances à bord ! Avec le bateau sur la tranche, à régler les écoutes sans arrêt. Nickel !

On a eu beaucoup de peine jusqu’ici à prendre des forces, à manger correctement. On a enchaîné les siestes car on était cramés mais là ça commence à aller mieux à bord. Ce matin je suis content, j’ai réussi à prendre mon premier café… J’en ai juste mis la moitié sur moi avant de pouvoir sentir le goût ! 

Après le casse-tête du front, nous voilà devant le fameux dilemme de l’option qui va nous amener au plus vite en Martinique ! Et ce n’est pas simple. On a des routages qui ne sont pas complètement d’accord. On essaye donc de peser chaque pour et contre afin de choisir la meilleure option pour notre bateau. 

Autrement, rien à signaler à bord, on a juste eu dans le front deux Sandow qui ont sauté sur les chariots intermédiaires de grand-voile, mais c’est réparé. Le bateau va donc bien ! 

On cravache pour recoller, là on retombe à nouveau dans du près, ce qu’on adore plus que tout au monde ! On ne lâche rien !

 

Après le remue-ménage, place au remue méninges…

Ponctuée par de nombreux faits de course - 2 abandons déclarés (STAND AS ONE et Primonial) et 9 pit-stop ou escales en cours (dernière en date ce matin, celle du Class40 Legallais) - la tonitruante journée d’hier fait place à un jeudi plus tactique sur l’Atlantique. 90% de la flotte de la Transat Jacques Vabre Normandie Le Havre navigue en file indienne du milieu du golfe de Gascogne à la latitude de Madère et commence à penser ou à négocier les hautes pressions qui balisent bizarrement la route vers le Sud. Les voiles de portant ont déjà fait leur apparition chez certains mais l’alizé n’est pas pour tout de suite. En revanche, chez les ULTIM, le grand bord de portant vers la Martinique a commencé pour tous désormais. Et le duel en tête donne toujours lieu à des rebondissements avec un Maxi Banque populaire XI très en verve depuis hier.
Imoca

Message de l'IMOCA FOUSSIER-Mon Courtier Energie

Même force de vent entre 22 et 38 noeuds, jolie houle, cap au SW direction le large du Cap Finisterre.Tout va toujours bien à bord, le safran sous le vent nous a donné du fil à retordre dans l'après-midi d'hier, l'occasion de jouer avec nos outils, heureusement cela n'a pas généré d'autres dégâts qu'un peu de ralentissement et de perte de temps. Le bateau est de nouveau à 100% et nous le poussons pour gagner au plus vite vers le Portugal.Nous avons pu bien nous reposer, des forces, nous sommes sur un bon rythme au niveau des quarts et les températures sont bien remontées. Ca ressemble pas mal à la définition du bonheur même si nous continuons de pencher beaucoup et de taper un peu !
FOUSSIER-Mon Courtier Energie
Imoca

Message de l'IMOCA Prysmian Group

On est la deuxième nuit de course de cette Transat Jacques Vabre et on file tout droit vers le sud, vers le Cap Finisterre dans des conditions toujours assez ventées (20/25 nœuds de vent). Tout se passe bien à bord, on est avec un petit groupe, on était pas mal en contact avec Fortinet Best Western, ils sont un petit peu devant donc on espère les rattraper dans la nuit. On regarde la météo en détail pour la suite, on va gagner une zone de vent un peu plus faible qui va nous faire du bien pour reprendre des forces après ce début de course bien engagé. Pour l'instant, on a un œil sur la météo. Pour la suite, il y a plusieurs voies qui sont possibles et rien n’est encore trop décidé donc on reste assez focus là-dessus pour ne pas faire un mauvais choix. Là je viens de commencer mon quart, Giancarlo vient d’aller se coucher, donc c’est parti pour 1h sur le pont pour ma part et 1h de bannette.
Gaston MORVAN
Imoca

Messages de l'IMOCA GUYOT environnement – Water Family

Benjamin DUTREUX (GUYOT environnement – Water Family) : Les premières 36 heures ont été très intenses. On n'a pas donné beaucoup de nouvelles car nous étions pas mal occupés. Le passage du front a provoqué pas mal de casse sur la flotte. A bord, nous avons pas mal de bricoles à faire, c’est vrai qu’on a perdu du temps sur les autres concurrents et que ça nous a pris pas mal d’énergie.

Les premières 36 heures n'ont pas été de tout repos, mais on s’accroche. On est pas loin du bon paquet, c’est le plus important. On va voir les options qui se dessinent dans les prochaines heures mais j’ai impression que tout le monde a l’air de se diriger vers le sud .... Vers le soleil. Et ce n'est pas plus mal.

Corentin HOREAU (GUYOT environnement – Water Family) :  C'était super intense ! En mode Figaro. On ne s'est toujours pas déshabillés pour dormir. On a eu quelques bricoles malheureusement mais ça va on garde le moral. Ça fait partie du jeu et on a les petits copains encore à côté donc c’est encore mieux.

Class40

Message du Class40 Crédit Mutuel

Bonjour,
Enfin Lisbonne ! Comme une délivrance ! 

Les presque trois jours qui sont passés, c'était un peu comme une apnée, une prise de respiration en attendant que ça passe. C'était brutal, violent, et surtout inconfortable et stressant. Et là : les étoiles, le spi, la glisse.... quel contraste en
quelques heures à peine. On va pouvoir se sécher aujourd'hui, souffler un peu !
On était partis un peu sur la réserve le jour du départ, quand les camarades portaient tout dessus.... C'était pour nous les heures post-démâtage, et dans plus de 30 nds, nous ne voulions pas porter le génois.
Donc on a pris du retard, mais c'était pour nous nécessaire de reprendre les affaires avec prudence.
La nuit dernière, au cap Finisterre, on a une pièce de hook de trinquette qui a cédé dans le front. Trinquette dans l'eau, obligés de passer sous tourmentin et d'attendre que ça passe. Il va donc nous falloir monter dans le mât pour réinstaller une pin de hook afin de rendre notre trinquette utilisable de nouveau. Mais c'est un moindre mal car sinon le bateau a
bien tenu. Un grand merci à notre équipe qui a si bien préparé le bateau.
On va vraiment profiter maintenant de ces conditions beaucoup plus vivables!
bonne journée à tous
Ian

Imoca

Message de l'IMOCA Teamwork.net

« La première nuit c’était vraiment la guerre, on s’est concentrés sur le fait de garder le bateau en un morceau. C’était une nuit bien engagée avec 40 noeuds pendant assez longtemps, et on a vu que ça a fait pas mal de dégâts dans la flotte malheureusement. Il nous est arrivé quelques petits pépins mais vraiment rien de grave. Dès qu’on pourra on va faire un bon tour du bateau pour tout vérifier mais ça ne nous gêne pas pour naviguer jusqu’ici. Maintenant on essaie de se reposer, les conditions de vie à bord ne sont pas très agréables, mais rien d’insurmontable. Dès demain ça devrait commencer à être de mieux en mieux ! » 

Bonne nuit !

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