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CLASS40
IMOCA
OCEAN FIFTY
ULTIM
1
Xavier MACAIRE
Pierre LEBOUCHER
GROUPE SNEF
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2
Ian LIPINSKI
Antoine CARPENTIER
CRÉDIT MUTUEL
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3
Ambrogio BECCARIA
Nicolas ANDRIEU
ALLA GRANDE PIRELLI
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1
Thomas RUYANT
Morgan LAGRAVIERE
FOR PEOPLE
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2
Yoann RICHOMME
Yann ELIES
PAPREC ARKÉA
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3
Sam GOODCHILD
Antoine KOCH
FOR THE PLANET
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1
Thibaut VAUCHEL-CAMUS
Quentin VLAMYNCK
SOLIDAIRES EN PELOTON
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2
Fabrice CAHIERC
Aymeric CHAPPELLIER
RÉALITÉS
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3
Pierre QUIROGA
Ronan TREUSSART
VIABILIS OCEANS
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1
Armel LE CLÉAC'H
Sébastien JOSSE
MAXI BANQUE POPULAIRE XI
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2
François GABART
Tom LAPERCHE
SVR LAZARTIGUE
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3
Charles CAUDRELIER
Erwan ISRAËL
MAXI EDMOND DE ROTHSCHILD
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Imoca

Guirec Soudée et Roland Jourdain (FREELANCE.COM), 20e de la Transat Jacques Vabre Normandie Le Havre en catégorie IMOCA (avant jury)

Ce mardi à 16h02 locale (21h02 heure de Paris), Guirec Soudée et Roland Jourdain ont franchi en 20e position la ligne d’arrivée en baie de Fort-de-France de la 16ème édition de la Transat Jacques Vabre Normandie Le Havre. 

Le temps de course de For the Planet est de 14 jours 11 heures 32 minutes 55 secondes. Il a effectué les 3750 milles du parcours entre Le Havre et Fort-de-France à la vitesse de 10,82 noeuds sur l’orthodromie (route directe). Il a en réalité parcouru 4266 milles à la vitesse moyenne de 12,28 noeuds (sur l’eau).

Son écart au vainqueur est de 2 jours 14 heures 00 minute 24 secondes

Imoca

Alan Roura et Simon Koster (Hublot), 19e de la Transat Jacques Vabre Normandie Le Havre en catégorie IMOCA (avant jury)

Ce mardi à 15h15 locale (20 h 15 heure de Paris), Alan Roura et Simon Koster ont franchi en 19e position la ligne d’arrivée en baie de Fort-de-France de la 16ème édition de la Transat Jacques Vabre Normandie Le Havre. 

Le temps de course de Hublot est de 14 jours 10 heures 45 minutes 26 secondes. Il a effectué les 3750 milles du parcours entre Le Havre et Fort-de-France à la vitesse de 10,84 noeuds sur l’orthodromie (route directe). Il a en réalité parcouru 4 993 milles à la vitesse moyenne de 14,40 noeuds (sur l’eau).

Son écart au vainqueur est de 2 jours 13 heures 12 minutes 55 secondes.

Class40

Message du Class40 Seafrigo-Sogestran

Hello la terre !

Ici, à bord de Seafrigo-Sogestran, on navigue à vue avec les Boulangères et Amipi. Ça fait du bien de revoir du monde. Il n'y a vraiment pas beaucoup de vent, c'est une vraie course d'escargots.... Ça attaque de tous les côtés derrière et faire des bons choix stratégiques relève un peu du chamanisme.

Avec Guillaume, on essaye de trouver un petit trou de souris pour passer en évitant les calmes mais ce n'est pas chose simple. On s'emploie donc à pratiquer la danse du vent accompagnée de chants vaudoux. J'imagine que c'est exactement ce que font les autres teams.

En vrac :
- il fait beaucoup beaucoup trop chaud.
- on va beaucoup beaucoup trop lentement.
- l'E.T.A. est prévue entre vendredi matin et vendredi soir. 
- le Nord semble prendre l'avantage si on prend en compte les derniers fichiers météo. 
- il peut se passer encore plein de choses alors on ne lâche rien à bord de Seafrigo-Sogestran !

On vous envoie plein de pensées positives de l'Atlantique !

Les 197 chamanes flottants.

Imoca

Sébastien Simon et Iker Martinez, skippers de GROUPE DUBREUIL, 18e de la Transat Jacques Vabre Normandie Le Havre en catégorie IMOCA (avant jury)

Arrivée à 13 h 23 locale (18 h 23 heure de Paris), ce mardi 21 novembre, Sébastien Simon et Iker Martine ont franchi en dix-huitième position la ligne d’arrivée en baie de Fort-de-France de la 16ème édition de la Transat Jacques Vabre Normandie Le Havre.

Le temps de course de GROUPE DUBREUIL est de 14 jours, 08 heures, 53 minutes et 04 secondes. Il a effectué les  milles du parcours entre Le Havre et Fort-de-France à la vitesse de 10,90 noeuds sur l’orthodromie (route directe).

Il a en réalité parcouru 4 650.01 milles à la vitesse moyenne de 13.48 noeuds (sur l’eau).

Son écart au vainqueur est de 2 jours, 11 heures, 53 minutes et 04 secondes.

 

Réaction de Sébastien Simon :

"14 jours c’est long, surtout dans ces circonstances, on est content d’être arrivé. Ce n’était pas une cours facile pour nous car on a eu des petits soucis de voile dès la première nuit. On a passé des heures et des heures à essayer de réparer et ça redéchirait donc les conditions n’ont pas vraiment été avec nous et pourtant le début de course était incroyable, on a vu tout le potentiel du bateau, on a été dans le match. J’ai l’impression qu’on a été un peu animateur de cette course avec l’option ouest. On est convaincu qu’on aurait pu faire quelque chose de bien et malheureusement c’est comme ça. C’était quand même une très belle expérience, l’objectif c’était d’arriver ici avec ce magnifique bateau, on a beaucoup appris. On s’est battu jusque’à la fin. Forcément il y a un peu de frustration mais aussi beaucoup de plaisir parce que l’histoire fait que commencer et je suis persuadé que l’avenir nous réserve plein de belles surprises."

 

Réaction d'Iker Martinez :

"On voulait vraiment gagner donc quand du coup, ça n’a pas marché, qu’on a commencé à avoir des problèmes avec les voiles, la situation devient difficile. Moi personnellement, je suis un peu déçu car je voulais faire bien. Mais c’est juste le sentiment aujourd’hui, demain Séb doit partir tout seul, le bateau doit être le mieux possible, il faut continuer. L’objectif c’était d’arriver ici, de se qualifier, de continuer à apprendre. On a rempli plein d’objectifs, peut-être raté un peu le sportif."

Imoca

Romain Attanasio et Lois Berrehar, skippers de FORTINET - BESTWESTERN, 17e de la Transat Jacques Vabre Normandie Le Havre en catégorie IMOCA (avant jury)

Arrivée à 12 h 00 locale (17 h 00  heure de Paris), ce mardi 21 novembre, Romain Attanasio et Lois Berrehar ont franchi en dix-septième position la ligne d’arrivée en baie de Fort-de-France de la 16ème édition de la Transat Jacques Vabre Normandie Le Havre.

Le temps de course de FORTINET - BESTWESTERN est de 14 jours, 07 heures, 30 minutes et 15 secondes. Il a effectué les  milles du parcours entre Le Havre et Fort-de-France à la vitesse de 10,95 noeuds sur l’orthodromie (route directe).

Il a en réalité parcouru 5 179.97 milles à la vitesse moyenne de 15,08 noeuds (sur l’eau).

Son écart au vainqueur est de 2 jours, 09 heures, 57 minutes et 44 secondes.

 

Réaction de Romain Attanasio :

"On est un peu déçu de notre option mais on a appris plein de choses. Ça été très instructif pour moi d’être avec Loïs. Il a un oeil nouveau, une façon différente de faire et puis on a bien rigolé. On a passé une nuit sans pilote qui était folklo. Loïs couinait à la barre parce qu’il y a passé 5 heures pendant que moi j’essayais de réparer le pilote. Parfois je l’entendais crier et il me disait "c’est dur", depuis je me moque de lui.

Les peignoirs ? C’était un cadeau de Bestwestern, on les a emmenés pour rigoler mais en fait on les a utilisés tous les jours, donc parfois on se douchait en fin d’après-midi, on s’asseyait tous les deux en peignoir, les jambes croisées, on était super.

Ça tapait beaucoup. Quand le bateau tape toutes les 10 sec, il tombe de 3-4 mètres en fait. On est assis sur un truc dur et on se cogne tout le temps. Déjà ça tasse le dos, il suffit que tu regardes un peu de côté et crac dans le cou. Si tu as la bouche ouverte, ça claque les dents."

 

Réaction de Loïs Berrehar

"On est content d’être arrivé car on a eu chaud ces derniers jours. C’est ma deuxième transat Jacques Vabre en IMOCA et j’ai pris deux fois vachement de plaisir. Ce sont des bateaux incroyables avec un potentiel énorme et c’est sûr qu’en solitaire ça fait du boulot je me disais ça de temps en temps. Mais c’est une belle classe avec un niveau incroyable."

Imoca

Les dériveurs font de la résistance

Ils ont débarqué du Nord ! Cette nuit, Monnoyeur Duo For a Job (Ferré-Le Roy) et Fives Group - Lantana Environnement (Duc-Aubrun), respectivement 13e et 14e, ont rejoint le ponton d’honneur à Fort-de-France. Ces deux équipages signent une course qui marque les esprits à bord de bateaux à appendices droits, qui ont déjà connu plusieurs vies. Non seulement, ils terminent proches du « top ten », mais ces « dériveurs » s’offrent aussi le privilège de finir devant de nombreux « foilers ».
Imoca

Louis Burton et Davy Beaudart, skippers de BUREAU VALLEE, 16e de la Transat Jacques Vabre Normandie Le Havre en catégorie IMOCA (avant jury)

Arrivée à 11 h 58 locale (16 h 58 heure de Paris), ce mardi 21 novembre, Louis Burton et Davy Beaudart ont franchi en seizième position la ligne d’arrivée en baie de Fort-de-France de la 16ème édition de la Transat Jacques Vabre Normandie Le Havre.

Le temps de course de BUREAU VALLEE est de 14 jours, 07 heures, 28 minutes et 23 secondes. Il a effectué les  milles du parcours entre Le Havre et Fort-de-France à la vitesse de 10,95 noeuds sur l’orthodromie (route directe).

Il a en réalité parcouru 4 925.10 milles à la vitesse moyenne de 14,24 noeuds (sur l’eau).

Son écart au vainqueur est de 2 jours, 09 heures, 55 minutes et 52 secondes.

 

Réaction de Louis Burton

"Déjà Bureau Vallée est de l’autre côté et ça c’est quand même génial. Toute l’équipe a la larme à l’oeil car tout le monde a énormément bossé. Nos sponsors ne nous ont pas lâché malgré nos deux démâtages et putain qu’est-ce que ça fait plaisir de voir ce bateau de l’autre côté. C’était hyper important aussi avec Davy pour nous guérir de notre démâtage en 2021 et c’était la première grosse marche à franchir pour aller autour du monde l’année prochaine. On a savouré cette Transat Jacques Vabre de bout en bout comme une course à part entière. On a démarré avec 5h de retard pour se mettre dans le jeu. L’année prochaine on va tous les fumer."

 

Réaction de Davy Beaudart

"C’était hyper serré, on était un groupe de quelques bateaux à batailler dans le peu d’alizés qui nous restait à la fin. On a eu Fortinet Bestwestern qui nous a rattrapé à la dernière pointe. On a pu profiter de la côte de jour, on est hyper content. L’objectif était de terminer la course, de bien faire. On est allé sur l’accélérateur quand il le fallait et on a su lever le pied sur le bateau quand il le fallait. On a navigué en bon marin et le résultat c’est que le bateau est impeccable."

Imoca

Damien Seguin et Laurent Bourgues, skippers de GROUPE APICIL, 15e de la Transat Jacques Vabre Normandie Le Havre en catégorie IMOCA (avant jury)

Arrivée à 11 h 22 locale (16 h 22 heure de Paris), ce mardi 21 novembre, Damien Seguin et Laurent Bourgues ont franchi en quinzième position la ligne d’arrivée en baie de Fort-de-France de la 16ème édition de la Transat Jacques Vabre Normandie Le Havre.

Le temps de course de GROUPE APICIL est de 14 jours, 06 heures, 52 minutes et 17 secondes. Il a effectué les  milles du parcours entre Le Havre et Fort-de-France à la vitesse de 10,97 noeuds sur l’orthodromie (route directe).

Il a en réalité parcouru 4 690.05 milles à la vitesse moyenne de 13,68 noeuds (sur l’eau).

Son écart au vainqueur est de 2 jours, 09 heures, 19 minutes et 46 secondes.

Réaction de Damien Séguin

"Cette remontada, on la dédicace à l’ensemble des équipes techniques qui ont oeuvré pour qu’on puisse partir. Merci aussi à toute l’équipe de Benjamin Dutreux qui nous a prêté une bôme en urgence et qui nous a permis de repartir. La route nord c’était dur physiquement, on a fait 9 jours de près, on a terminé avec un front et des rafales à presque 50 noeuds. Tu tires sur le matos mais tu tires aussi sur le bonhomme."

Réaction de Laurent Bourguès

"C’était pas évident, c’était une course en 3 départs (rires). Un premier arrêt le jour officiel, un re-stop à Lorient, où on se dit merde pourquoi s’arrêter là, c’est pas possible, on a fait un super début de course, on était hyper content. On se disait, on a passé le plus dur du front et on commençait à vraiment s’éclater et ça pouvait pas s’arrêter là. Merci aux équipes qui ont beaucoup travaillé et à celle de Guyot aussi. On lui a laissé quand même le privilège d’être devant nous, on a été FairPlay."

Class40

Dernière ligne droite

Alors que les IMOCA se succèdent dans la baie de Fort-De-France, les Class40 poursuivent leur descente sur l’île aux fleurs. La croisée des chemins devrait se faire à l’approche de la Martinique entre le groupe du Sud et ceux plus au Nord. Même si Groupe SNEF a décidé de faire dissidence depuis hier.

Message de l'IMOCA HUMAN Immobilier

Coucou les terriens !

Nord, sud ? Rappelez-vous nos tergiversations... 

Le fichier météo s'est modifié, ils ont plus de portant que les prévisions et la sanction est immédiate pour les partisans du sud dont on fait partie…

C'est le jeu ma bonne Lucette !

Nous avions intégré ce risque et nous l'avons déjà digéré. Quand on l'a validé, on se doutait que nous allions les regarder passer comme passe un train devant un champ rempli de ruminants..

Imaginez-vous qu'on se parle entre certains, comme Louis Duc, quand il a tourné à droite, on lui a dit, “on préserve notre projet” tout en lui souhaitant bonne chance. “Pas de soucis, je comprends” nous a-t-il répondu… 

Il y a toujours un peu de frustration, mais heureusement, nous avons notre match dans le match avec notre confrère PARTAGE qui s'est repositionné sous notre vent, un peu décalé derrière, mais la route est longue et l'ami Fanch ne va pas se laisser faire, il nous rend la monnaie de la pièce, c'est bien, c'est motivant pour lui comme pour nous !

Sinon, on remercie les boys de chez Pochon La Rochelle pour les fiches process sécu : bonne idée… comme ça quand on se pose une question, on révise la petite fiche du souci et hop nickel, enfin la plupart du temps, mais on ne va pas faire nos râleurs !

Il a fait très beau hier et on a eu un vrai temps d'Alizée, 20 nœuds et 30 dans les grains, cette petite pluie vous annonçant que les Caraïbes se rapprochent !

Allez bonne journée du mardi !

On embrasse la mer pour nous

Imoca

Message de l'IMOCA Partage

Salut les terriens,

J’espère que vous êtes toujours là ! La Transat touche à sa fin et on peut l’affirmer sans sourciller puisque nous faisons partie des bateaux qui ferment la marche. On est passé sous les 1000 milles. Pour nous, il est plus que temps de rendre hommage aux premiers, qui, à l’heure où je vous écris, ont fini de savourer leur dernier rhum depuis une paille. Mais quel trio ! Chapeau bas ! Un même design sur le podium plus le dessinateur himself, une équipe au complet qui doit bien savourer son travail, encadrant un binôme de talent lui aussi. Binôme observe de loin par notre œil fétiche puisque Yoann faisait la Transat en 2017 a bord de notre fière monture. Bravo à tous donc et spéciale dédicace à yoyo.

A bord de Partage, on a quitté nos camarades de jeu les Class40 depuis la nuit dernière. On ne se quittait plus depuis les Canaries. La rupture est consommée, eux au sud, nous par le nord. Alea Jacta est, les dés sont jetés et on a beau ne pas courir dans la même classe, on s’observe et on souhaite que le choix soit bon. Et dans notre classe, on a la chance d’avoir emmené avec nous nos petits camarades de Human, qui ont pris l’avantage sur nous la nuit dernière. Mais rien n’est fait, on a choisi des latitudes différentes pour trouver le passage et nous verrons in fine quel choix aura été le plus judicieux. A l’heure où j’écris, nous sommes en route directe sur la Martinique et ça glisse plutôt pas mal sous spi et sous le clair de lune. Nous avons enchaine les manœuvres et ces bateaux exigent un lourd tribu énergétique pour cela. Et le vent qui ne voulait pas se caler et suivre les fichiers de prévisions, a éprouvé durement nos nerfs. Une fois que l’on a mis le bateau sur son rail, on a clos l’épisode par une bonne douche. Ca faisait longtemps et ça nous a fait un bien fou. 

On ne lâche rien !

Bonne nuit les amis 

Class40

Message du Class40 Centrakor

Hello

16e jour de course, encore un lever de soleil dingue et une nuit fantastique avec de la lune. Ce qui est fort agréable, c’est de distinguer les vagues et les risées qui nous entourent.

Cela fait plusieurs jours que Edenred est plus rapide que nous, on ne sait pas trop pourquoi, placements dans des couloirs différents et/ou différence de carène... Bref hier soir on a décidé de se placer un peu plus au sud en espérant que les fichiers météo soient corrects et que nous ayons un peu plus de pression ... mais Eole et Alizé ne sont pas des dieux faciles à interpréter. La nuit a été plus ventée que prévu, Alternative Sailing, revenu comme un aigle plongeant sur sa proie.

La chasse aux Sargasses est officiellement ouverte depuis hier matin, nous avons croisé des zones assez denses et du faire 2 marches arrière, on va préparer la 3e car dans la quille on ne les a pas enlevées. 

On surveille nos copains qui ont décidé de prendre la face nord, les routages nous donnent un coup eux devant, un coup nous, ce qui sûr c’est que cela sera serré, surtout si le vent mollit un peu devant, les écarts vont ce resserré. 

Je vous laisse avant qu’il ne fasse trop chaud pour une petite sieste et Ludo prends le relai sur la chasse aux Sargasses.

Imoca

Louis Duc et Rémi Aubrun, skippers de Fives Group – Lantana Environnement, quatorzièmes de la Transat Jacques Vabre Normandie Le Havre en catégorie IMOCA (avant jury)

Arrivé à 4 h 51 min 34 sec heure locale (9 h 51 min 34 sec heure de Paris), ce mardi 21 novembre, le temps de course de Fives Group – Lantana Environnement est de 14 jours 0 heure 21 minutes 34 secondes. Il a effectué les 3750 milles du parcours entre Le Havre et Fort-de-France à la vitesse de 11,18 noeuds sur l’orthodromie (route directe). Il a en réalité parcouru 4 200 milles à la vitesse moyenne de 12,49 noeuds (sur l’eau). Son écart au vainqueur est de 2 jours 2 heures 49 minutes 3 secondes.

Réaction à l'arrivée

Louis Duc : «  On a énormément de chance de naviguer sur ce genre d’engins. On l’oublie beaucoup, mais on prend énormément de plaisir à naviguer sur ces machines magiques à bouffer des milles. On vient de boucler une magnifique Transat Jacques Vabre, avec un départ décalé, des groupes avec des options différentes, des guerres pas possibles avec à la fois  avec notre ami Freelance et sa poule Bilou (Il évoque Guirec Soudée et sa poule Monique) ! Et Monnoyeur qui était devant nous et qui allait un peu plus vite que nous. On essayait de s’accrocher pour passer avant, mais cela n’a pas marché. Il y a eu aussi une superbe course au sud avec Violette Dorange etXXX qui ont maintenu un rythme extrêmement élevé. Je ne suis pas sûre qu’on aurait réussi à suivre  le même rythme  si on était passé par le Sud. Je leur dis bravo, parce qu’ils maintiennent des moyennes très élevées au portant. On a beaucoup suivi leur course. Mais régulièrement, on se disait que ça pouvait marcher par le Sud. Sur cette course, il y a eu sur ce parcours de super bateaux, des super équipages. Nos bateaux à dérives, ils ne sont pas morts.  On voit qu’il y en a encore 6/7 foilers qui n’ont pas fait d’escales qui sont derrière nous. Pour nous, c’est une victoire énorme. Rémi (Aubrun)  m’avait dit qu’on devait absolument faire un podium sur les bateaux à dérives. Ça s’est fait, on a gagné !  J’étais heureux de naviguer avec ce bonhomme qui est un gars super. »

Rémi Aubrun : « Je retiens l’option nord et l’option ouest. On s’est régalé. Il y avait un paysage incroyable avec des conditions dures et sportives. Cela changeait tout le temps. Le passage du front était magnifique. Je garde des images incroyables de ce passage de front…. On a vécu un truc exceptionnel. Merci Louis.  »

Imoca

Benjamin et Pierre : un Duo For du “bon” Job

13e sur la ligne d’arrivée à bord de l’IMOCA Monnoyeur Duo For a Job , Benjamin Ferré - dit “Benjamin envoie le pépin” et Pierre Le Roy décrochent surtout la première place des bateaux à dérives. À la faveur d’une trajectoire nord tout en maîtrise et précision, le binôme, qui associe le talent de navigation du premier et la science du second météorologue de profession, a su tirer le meilleur de ce bateau au long palmarès (l’ancien de François Gabart), réputé comme l’un des plus rapides des “non-foilers”. Retour sur les réactions au ponton dans la douceur de la nuit tropicale de ces deux bizuths de l’IMOCA qui n’ont pas manqué d’imprimer leur patte sur une Route du café pas si “frappée” que ça…
Imoca

Benjamin Ferré et Pierre Le Roy, skippers de Monnoyeur – Duo for a Job, treizième de la Transat Jacques Vabre Normandie Le Havre en catégorie IMOCA (avant jury)

Arrivé à 1 h 11 min 22 sec heure locale (6 h 11 min 22 sec heure de Paris), ce mardi 21 novembre, le temps de course de Monnoyeur – Duo for a Job est de 13 jours 20 heures 41 minutes 12 secondes. 

Il a effectué les 3750 milles du parcours entre Le Havre et Fort-de-France à la vitesse de 11,30 noeuds sur l’orthodromie (route directe). Il a en réalité parcouru 4291 milles à la vitesse moyenne de 12,90 noeuds (sur l’eau). 

Son écart au vainqueur est de 1 j 23 h 8 mn 41 sec.

Imoca

Live ponton

Rendez-vous sur Facebook pour suivre les premières réactions de Pip Hare et Nick Bubb sur les pontons !

Class40

Message du class40 Alternative Sailing-Constructions du Belon

Tout va bien à bord. L'arrivée se rapproche, ça y est nous avons des sargasses ! L'angoisse, on a perdu la canne à algue au cap Finisterre. Nous nous rapprochons de la bulle sans vent, on profite pour l'instant on a toujours du vent, beaucoup plus que sur les fichiers. 

Toujours très peu de grains, et pleins d'étoiles. On a fait une très belle nuit et une très belle journée, nous sommes beaucoup revenus sur nos concurrents. Nous pouvons être encore plus à l'attaque pour grapiller des places !

La nourriture commence à être assez monotone, bientôt les fruits frais !

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